Le quotidien reprendra lentement son cours à partir du 11 mai. Pour un déconfinement en douceur et sans douleur après six semaines de sédentarité imposée, rien ne vaut le vélo. Santé, budget, environnement, mobilité, sans oublier la sacro-sainte distanciation sociale : le « biclou » a plus d’un tour dans sa sacoche.
Voici quelques bonnes raisons de sortir son vélo de sa retraite – ou de s’en procurer un – pour un déconfinement réussi.
Le vélo favorise la distanciation sociale. Ce mode de déplacement individuel permet de respecter les distances de sécurité entre les personnes.
Le vélo est pratique. Je me déplace et je me gare plus facilement qu’en voiture.
Le vélo est rapide. En ville, il faut moins de temps qu’en voiture pour accomplir une distance inférieure à 5 km ; on évite les embouteillages.
Le vélo est économique. Il ne coûte pas cher et son prix est amorti dès la première année. Pas de carburant, pas d’assurances, peu de frais d’entretien ou de réparation.
Le vélo est bon pour la santé. Il permet de lutter contre l’obésité, les problèmes cardio-vasculaires, le diabète et le cancer. Il limite les douleurs musculo-squelettiques. De plus, une personne en bonne santé résiste mieux aux virus.
Le vélo rend autonome. Pas besoin de dépendre d’un tiers.
Le vélo déstresse. Pédaler aère l’esprit et renforce contre la dépression.
Le vélo est écologique. Il diminue l’empreinte carbone de son propriétaire, puisqu’il pollue moins que n’importe quelle voiture, que ce soit pour sa fabrication ou pour son usage.